Juin
19
2017

L’endroit idéal pour se masser et se détendre

Le stress est l’un des problèmes les plus fréquents rencontrés par les hommes. La raison qui explique cela est notre train de vis quotidien où les tâches doivent se faire à une vitesse grand V, parfois même plusieurs tâches à la fois. Cela étant, en contrepartie nombreux sont aussi les instituts qui proposent une solution pour déstresser de temps en temps. Un massage paris est l’une de ces solutions miracles. Mais au lieu de passer dans un salon de massage à Paris, vous pourrez aussi en pratiquer un chez vous en ayant quelques bagages intellectuels sur le sujet.

Tout ce qu’il y a à savoir sur un massage paris

En premier lieu, il faut savoir que dans un salon de massage paris, il ne se tient pas seulement qu’à une seule technique. Les pratiques se divergent mais le point commun entre ces pratiques est la relaxation. En général, il faut deux personnes pour pratiquer un massage digne de ce nom. Le masseur doit connaitre les « sen » du corps humains, lus particulièrement les 10 sens principaux. En effet, dans un massage thaï, l’on part du principe que le corps humain est fait de nombreuses lignes d’Energie d’une quantité infinie qui circulent en lui. La libre circulation de ce dernier garde l’harmonie qui se manifeste alors par la santé du corps et la quiétude de l’esprit. Si ce n’est pas le cas, c’est qu’il y a certaines lignes d’Energie qui se trouvent être bloquées. C’est pourquoi il faudra connaitre l’emplacement exact de ces « sen » avant de pratiquer un massage soi-même. Il n’y a pas d’autres matériels à part le corps du masseur ; ses doigts, ses mains, ses coudes et ses jambes qui interviennent durant la séance.

L’emplacement des 10 sen principaux

Nous allons ici vous démontrer les zones d’emplacements de chacun des lignes énergétiques principaux en massage thaï. Premièrement il y a le « sen » Sumana qui commence par la pointe de la langue et se termine en ligne droite au plexus solaire c’est-à-dire juste au-dessus du nombril. Le « sen » Ittha commençant par la narine, remontent sur la tête et redescendent au plus près de la ligne du rachis. Couvrant la fesse, il passe ensuite sur la ligne 3 interne de la cuisse. Ensuite il passe par les genoux et remontent sur la ligne 1 de la cuisse pour s’arrêter à une largeur du pouce du nombril. Le « sen » Pingkhala suit le même trajet mais cette fois-ci du côté droit. En effet, certaines lignes ont le même trajet mais en ayant leur côté respectif. C’est également le cas pour les « sen » Thawari et Sahatssarangsi. Le premier pour le côté droit et le second pour celui de gauche. Quant au trajet, ils commencent à l’œil, puis le haut du corps, l’abdomen et descendent ensuite sur la 1ere ligne externe des jambes, tournent aux chevilles et remontent sur la 1ere ligne interne des jambes jusqu’au nombril. Le « sen » Kalatharee pour sa part, sur la partie antérieure part du nombril, descend sur la seconde ligne interne des jambes pour arriver jusqu’aux orteils et remonte au niveau du thorax, passe par la ligne interne des bras et s’arrêtent aux doigts.Sur la face postérieure il remonte par le trajet externe de la ligne 3 des jambes et va sur le trajet 1 des bras. Le long du rachis lombaire il passe en ligne para vertébrale.

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